La filière éolienne québécoise implique des sommes d’argent considérables. Des milliards de dollars $ sont en jeu. Rien d’étonnant que les acteurs de l’industrie prennent les grands moyens pour convaincre la population d’accepter leurs projets. À cette fin, ils ont recours à des firmes de communications qui utilisent les outils de mise en marché (marketing) les plus récents. Cela se résume à mettre en valeur les mérites des projets, à passer sous silence les inconvénients, et surtout, à utiliser l’usure du temps afin de venir à bout des résistances.
Il faut aussi se méfier des études disponibles sur les éoliennes. Les personnes opposées aux éoliennes ne disposent pas de ressources financières importantes. La plupart des études sont donc financées directement ou indirectement par l’industrie éolienne, ou par des agences gouvernementales favorables à son développement. Évidemment, quand les résultats d’une étude ne vont pas dans le bon sens, elle est tout simplement tablettée. En résumé, celui qui paie la facture est celui qui contrôle l’information. Ce n’est pas évident d’identifier qui a financé une étude, un article ou un documentaire. Exempt de conflits d’intérêt, les témoignages de citoyen(e)s, et les informations provenant d’organismes sans but lucratif, nous apparaissent plus crédibles.
Un regard critique…
Question d’alimenter votre réflexion, Impacts-Éoliennes-Valleyfield propose ci-dessous un document qui jette un regard critique sur plusieurs aspects du développement de l’énergie éolienne. Il aborde des considérations à l’échelle canadiennes, québécoises et d’autres plus spécifiques à un éventuel projet à Salaberry-de-Valleyfield. Un incontournable pour faire la part des choses.
La filière éolienne québécoise implique des sommes d’argent considérables. Des milliards de dollars $ sont en jeu. Rien d’étonnant que les acteurs de l’industrie prennent les grands moyens pour convaincre la population d’accepter leurs projets. À cette fin, ils ont recours à des firmes de communications qui utilisent les outils de mise en marché (marketing) les plus récents. Cela se résume à mettre en valeur les mérites des projets, à passer sous silence les inconvénients, et surtout, à utiliser l’usure du temps afin de venir à bout des résistances. 
